À la sortie du confinement en 2020, les métropolitains pouvaient découvrir des aménagements cyclables temporaires : les TempoVélos. La Métropole communiquait allègrement sur un plan de déploiement de Tempovélo. Ces aménagements variés — pistes ou bandes cyclables, voies bus partagées — étaient situés sur un peu partout dans tout Grenoble et sa périphérie (St-Martin-d’Hères, Seyssinet-Pariset, Échirolles, Fontaine, Meylan). Ils avaient tous la même raison d’être : rendre la pratique du vélo attractive et sûre.
Certaines de ces voies ont été pérennisées comme à Échirolles ; d’autres ont été supprimées, aussi rapidement qu’elles étaient apparues. Ces suppressions ont donné lieu à de nombreuses réactions de la part du monde associatif et des unions de quartier, comme pour la TempoVélo des Quais de Grenoble ou celle de St-Martin-d’Hères.
La TempoVélo des quais, en rive gauche de l’Isère, consistait en une voie bidirectionnelle cyclable prise sur l’emprise d’une voie motorisée allant de la place Hubert Dubedout (pont de la porte de France) au Pont de Chartreuse à l’entrée de l’île verte. En plus de créer un axe cyclable structurant au Nord du centre-Ville, sa présence sécurisait le cheminement piéton sur les bords de l’Isère et limitait les prises de vitesses excessives pour les véhicules motorisés. Sa conception large permettait son emprunt par les ambulances, qui pouvaient ainsi gagner de précieuses minutes pour se rendre à l’hôpital.
Cet axe est demandé par les associations d’usagers depuis au moins 20 ans. Dans le premier baromètre des villes cyclables en 2017, la traversée Est-Ouest du Polygone à l’Ile Verte ressort comme un besoin fort dans les commentaires. La première cartographie des tronçons et points noirs cyclables de 2019 plébiscite des améliorations sur cet itinéraire. La demande reste vraie pour la troisième édition de 2021.
À la suite du premier confinement entraîné par la pandémie de Covid-19, afin d’éviter la saturation des transports collectifs en temps de pandémie et de contrer un report massif de ceux-ci vers la voiture, de nouvelles sortes de pistes cyclables ont été inventées. Elles sont appelées familièrement les coronapistes ou aménagements cyclables provisoires. Leur principe consiste en la création de voies cyclables provisoires sur l’espace public. Elles peuvent être installées (ou désinstallées) en un temps très court. Afin de les déployer le plus rapidement possible, elles ont été créées généralement à l’aide de matériel de chantier et de peinture. Le concept, venu d’Amérique latine, a rapidement conquis l’Europe à la fin du printemps 2020. En France, de très nombreuses collectivités ont décidé de mettre en place ces aménagements. Des grandes villes bien sûr, notamment Paris, Lyon et Montpellier, mais aussi des localités plus petites, telles que Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire) ou Charleville-Mézières (Ardennes) pour ne citer qu’elles.
Depuis 2018, le 3 juin est proclamé journée mondiale du vélo par l’Assemblée Générale des Nations Unies. À cette occasion, l’OMS rappelle que la marche et le vélo sont des éléments essentiels pour une vie en bonne santé, pour améliorer la qualité de l’air et la sécurité routière, et que cela requiert des infrastructures plus sûres.
Dans cette optique, notre territoire met en œuvre un schéma cyclable structuré par le réseau Chronovélo. Son déploiement est néanmoins trop lent au regard de l’augmentation de la pratique cyclable et des plannings initialement prévus.
discontinuité cyclable du cours Berriat
En particulier sur le cours Berriat, il manque une connexion d’environ 260 mètres entre la Chronovélo 2 (longeant l’Estacade en direction de la gare) et la Chronovélo 1 (sur le cours Berriat à l’est de Jean Jaurès). Ce tronçon manquant est déjà très fréquenté par les cyclistes malgré sa dangerosité. Relier ces deux Chronovélos qui voient passer entre 5 000 et 6 000 cyclistes par jour est un enjeu majeur. De plus, les 3 500 répondants au Baromètre des Villes Cyclables sur Grenoble ont demandé que cet axe soit aménagé en priorité.
Le projet de piste cyclable bidirectionnelle sur cette section a été délibéré, étudié puis présenté aux habitants et unions de quartier en juillet 2018. Pourtant, aucun chantier n’a été engagé et aucune nouvelle du projet n’a été donnée depuis.
projet d’aménagement présenté par la Métro en 2018
La sécurité des cyclistes sur ce tronçon est fondamentale et il y a une forte attente de la part des usagers. Nous souhaitons qu’une continuité sécurisée soit réalisée rapidement par les collectivités compétentes : Ville de Grenoble, Métropole et SMMAG. Dès demain, un aménagement peut être mis en place !
En cette journée mondiale du vélo, nous demandons que les discontinuités cyclables soit résorbées, à commencer par Berriat !
Ce samedi 14 mai, 8 cortèges partiront de toute la grande région urbaine grenobloise pour rejoindre le cœur de la métropole. Toutes et tous vélorutionneront ensemble à l’appel de nombreux collectifs. Le but : faire masse pour revendiquer des aménagements cyclables continus et sécurisés sur tout le territoire du SMMAG. Plus de mille usagers avaient participé à l’édition précédente en septembre 2021.
Choisissez votre départ et embarquez pour une ambiance festive
Convergence Vélo 2022
Monestier-de-Clermont ou Le Touvet, Vizille ou Moirans… les choix de départ ne manquent pas et les cortèges peuvent être rejoints en route sur l’une des 42 étapes. Une carte interactive est disponible avec horaires et arrêts pour organiser au mieux son après-midi. Les cortèges se retrouveront place de Verdun à 16h pour une vélorution festive en direction de l’anneau de vitesse. Buvette et vélos-restos seront prêts à accueillir les participant·e·s après cette belle balade.
Vélorutionner pour que tou·te·s puissent pédaler
Le sentiment de sécurité et le confort d’usage sont les principaux leviers pour favoriser l’usage du vélo.
D’après le baromètre des villes cyclables 2021, les 3700 répondants du territoire métropolitain demandent avant tout des itinéraires rapides, directs, continus et sécurisés, et relèvent qu’il est difficile de rejoindre les autres communes à vélo. Sur notre territoire, le climat cyclable est encore globalement mauvais et très inégal d’une commune à l’autre. La convergence illustre l’envie citoyenne de pouvoir se déplacer partout à vélo, que son usage soit utilitaire, touristique, sportif, ou simplement récréatif.
Carte de climat cyclable pour les communes classées de Grenoble Alpes Métropole
Si la convergence vélo permet d’apporter de la sécurité par le nombre le temps d’un après-midi, le quotidien d’un usager parcourant ces mêmes tronçons peut se révéler compliqué. La carte du baromètre montre clairement que tous les grands axes de la métropole et les intersections associées sont des lieux difficiles pour la pratique cyclable.
Les carrefours dangereux et les nombreuses discontinuités cyclables requièrent une politique cyclable concrète du SMMAG et des collectivités de l’aire grenobloise, tant pour éviter les accidents que pour permettre aux pratiquants moins aguerris de rouler à vélo : débutant·e·s, enfants, personnes âgées…
Les cyclistes sont déjà là en nombre, au quotidien. Les potentiels cyclistes attendent simplement des trajets confortables et sécurisés. Il ne reste qu’au SMMAG et aux collectivités du territoire de répondre à la demande des citoyens.
Cet événement est une invitation festive à expérimenter le vélo comme moyen de transport au quotidien. Huit cortèges sécurisés partiront de toute la région grenobloise et convergeront vers la place de Verdun à Grenoble, où ils arriveront vers 16h. Ces parcours conviviaux sont ouverts à toutes et à tous. On peut les rejoindre en famille, entre ami·e·s ou collègues, depuis leur départ ou à l’une des 42 étapes.
Convergence Vélo 2022
Le vélo est une solution de déplacement pragmatique, économique et efficace, notamment en milieu urbain et péri-urbain. Il permet à chacun d’entretenir sa condition physique, et sa pratique répond à la fois aux enjeux de santé publique et à ceux du dérèglement climatique.
La pratique se développe mais il reste beaucoup à faire dans la région grenobloise pour assurer la sécurité des cyclistes. Les carrefours dangereux et les nombreuses discontinuités cyclables requièrent une politique cyclable concrète des collectivités de l’aire grenobloise (SMMAG, Métro, Voironnais, Grésivaudan), tant pour éviter les accidents que pour permettre à des pratiquants moins aguerris (débutant·e·s, enfants, personnes âgées…) de rouler à vélo.
Nous invitons les habitant·e·s et les élu·e·s de toute l’agglomération grenobloise à nous rejoindre samedi 14 mai pour fêter le vélo, le faire découvrir à nos proches et ré-affirmer notre besoin d’infrastructures adaptées.
Les résultats du baromètre des villes cyclables ont été dévoilés ce jeudi 10 février à Tours lors du Congrès 2022 de la FUB : Grenoble est officiellement sacrée capitale française du vélo du quotidien, devant Strasbourg (2e) et Rennes (3e), dans la catégorie des « grandes villes » (plus de 100 000 habitants).
Pour l’anecdote, les catégories ont changé en 2021. Grenoble était déjà première de sa catégorie en 2017 et 2019 (50 000 à 200 000 habitants), tandis que Strasbourg et Rennes étaient respectivement première et troisième de la catégorie des grandes villes (plus de 200 000 habitants). La concurrence était plus rude, et Grenoble confirme sa première place !
Avec 277 384 réponses en France, cette enquête est la plus grande étude sur le ressenti cycliste au monde.
Parmi les répondants au niveau national, 76,4% pratiquent le vélo au moins une fois par semaine dont 42,7% tous les jours ou presque. L’enquête est presque paritaire (46% F/ 54% H).
On retient deux enseignements majeurs de cette édition :
plus de la moitié des répondants ne se sentent pas en sécurité ;
trois quarts considèrent que le trafic motorisé est gênant dans leur pratique.
Grenoble, une première ville qui stagne
Première de sa catégorie depuis la première édition en 2017, Grenoble n’obtient toutefois qu’une note de 4,21 / 6, ce qui ne représente qu’une faible amélioration par rapport à 2019 où elle décrocha un 4,12 / 6.
Il reste de nombreuses pistes d’amélioration pour faciliter le quotidien des cyclistes, notamment :
des intersections qui restent dangereuses ;
le manque de prise en compte des cycles dans les périodes de travaux ;
la cohabitation parfois compliquée avec les motorisés (stationnements gênants, vitesses trop élevées…).
Un ressenti disparate sur le territoire métropolitain
À l’exception de Meylan, plus on s’éloigne du cœur métropolitain et plus le ressenti cyclable est mauvais.
Sur tout le territoire, les usagers ont des attentes similaires : un réseau cyclable complet et sans coupure, des pistes entretenues, des trajets vélos plus directs et enfin, plus de stationnement adaptés !
En attendant la prochaine édition
Parlons-Y Vélo remercie chaleureusement tous les militants, associations et collectivités qui se sont mobilisés pour que nous ayons aujourd’hui un état des lieux représentatif sur la métropole. Nous invitons nos élus métropolitains à s’emparer de ces résultats et répondre aux besoins des usagers du vélo.
Pour la prochaine édition, l’ambition de Parlons-Y Vélo et de toutes les associations de développement du vélo urbain est simple : finir le réseau Chronovélo, assurer les continuités cyclables, et en faire bénéficier toute la métropole !
Grenoble profite d’une participation exceptionnelle, de l’ordre de 2% de la population pour une commune dont la part modale vélo pour les déplacements domicile-travail est de plus de 17%. À titre de comparaison, la participation est de 0.9% à Lyon, 0.8% à Besançon, 1.1% à Nantes, et 0.75% à Strasbourg — seule ville dont la part modale vélo est comparable à celle de Grenoble.
À ce jour, c’est de loin l’enquête la plus fournie sur la cyclabilité dans le bassin Grenoblois.
L’enquête du baromètre des villes cyclables est associée à une récolte d’avis concernant les lieux où les conditions de pratique sont à améliorer. En 2019 cette carte consistait en points noirs et tronçons à aménager ; en 2021, on a demandé aux usagers de pointer en plus les lieux où les conditions se sont améliorées et les endroits où du stationnement vélo est nécessaire. Cette carte a été dévoilée le 10 janvier, dans l’attente des résultats complets du baromètre le 10 février.
baromètre des villes cyclables 2021 — Grenoble centre
La carte de 2021 se présente en trois nuages de points : le rouge (à améliorer), le vert (amélioration perçue) et le bleu (désir de stationnement). Grâce au grand nombre d’avis fournis, les intersections et les axes peu sécurisés pour la pratique cyclable sont clairement mis en évidence et les nouvelles pistes et bandes cyclables apparues ces dernières années sont reconnues comme des améliorations.
À propos de la représentativité des données
L’augmentation progressive de la participation au cours des éditions successives du baromètre montre que la pratique du vélo n’est pas un simple engouement lié a une campagne municipale, mais bien une tendance de fond. Avec un taux de participation de l’ordre de 1% de la population pour des communes dont la part modale vélo parmi les actifs est comprise entre 1% (Vif, Vizille) et 17% (Grenoble) des habitants, on a ici une très bonne représentation du ressenti des cyclistes de toute l’agglomération. À ce jour, c’est de loin l’enquête la plus fournie sur la cyclabilité dans le bassin Grenoblois.
Que peut-on dire de ces informations ?
Les usagers donnent leur avis généralement sur des endroits qu’ils pratiquent et qu’ils souhaiteraient voir améliorer. Les lieux problématiques pour de nombreux trajets sont clairement mis en évidence par le grand nombre de points. Dans la globalité, tous les grands axes de la métropole et leurs intersections ressortent en rouge sur la carte lorsqu’ils ne sont pas assortis d’un aménagement de qualité.
Pour faire simple :
les points verts mettent en évidence les aménagements qui fonctionnent, par exemple les Tempovelos et les Chronovélos — si des voies de qualité apparaissent, elles sont empruntées et saluées ;
les points rouges montrent les intersections et tronçons difficiles sur les trajets effectués aujourd’hui — qu’il faudrait adresser soit en y réalisant des aménagements cyclables, soit en proposant un itinéraire cyclable tout proche.
Certains tronçons fortement empruntés par les cyclistes ressortent assez peu, parce qu’ils ne sont ni vraiment difficiles, ni vraiment agréables. Les cyclistes y sont en sécurité sans pour autant que l’aménagement soit au standard le plus récent. C’est le cas du pont du Drac entre Fontaine et Grenoble par exemple.
On remarque aussi que les besoins exprimés en stationnement sont principalement sur les zones d’activité commerciale ou de transit (gares, centres de villages, centre commercial de la Fauconnière à Seyssinet, espace Comboire, centre-ville grenoblois) : au-delà de pouvoir circuler à vélo, il est nécessaire de pouvoir l’attacher en sécurité une fois à destination, qu’on aille travailler ou réaliser des achats.
De réelles attentes d’améliorations
Le développement de la pratique cyclable passe par l’aménagement d’itinéraires continus et sécurisés. Les cartes produites par le baromètre permettent d’objectiver les lieux les plus problématiques a aménager ou contourner mais aussi d’évaluer les améliorations aux deux ans.
Cet outil est là autant pour aider les associations locales et leurs militants à étayer leurs revendications, que pour aider les décideurs et les bureaux d’étude à mieux saisir les enjeux locaux des déplacements à vélo. L’avis des usagers est là, sous vos yeux, n’hésitez pas à vous en emparer !
Lancée en 2017 par la FUB (Fédération des Usagers de la Bicyclette), l’enquête du baromètre des villes cyclables permet d’attribuer une note de « cyclabilité » selon le ressenti des usagers. Reproduite tous les deux ans, cette dernière a positionné Grenoble comme première ville cyclable de France dans sa catégorie (100 k à 200 k habitants) en 2017 et en 2019.
Cette édition marque l’entrée au palmarès de 7 nouvelles communes sur le territoire de Grenoble Alpes Métropole, et dévoile un attrait massif pour la pratique du vélo dans les communes périurbaines et rurales. Les taux de participation élevés assurent d’ores et déjà des résultats représentatifs, qui seront dévoilés courant février 2022.
Échirolles, Fontaine, Grenoble, Meylan et Saint-Égrève obtiendront leur troisième note cette année, ce qui permettra peut-être de discerner des évolutions liées au précédent mandat métropolitain.
Une enquête qui trouve l’intérêt du public
En 2021 ce sont près de 5300 avis qui ont été récoltés sur le territoire de Grenoble Alpes Métropole, ce qui représente une augmentation de 50% depuis la première édition en 2017. Pour qu’une ville obtienne une note et figure au palmarès, il faut atteindre 50 avis de cyclistes pratiquants. Plus ambitieuses, les associations et les militants du territoire grenoblois ont œuvré pour que la représentation des avis atteigne autant que possible les 1% de la population.
Commune
nombre de réponses
% population
évolution 2021/2019
Champagnier
56
4,6
Claix
73
0,9
+20%
Corenc
54
1,3
Domène
92
1,4
Échirolles
96
0,3
+10%
Eybens
84
0,8
+11%
Fontaine
245
1,1
+70%
Gières
86
1,2
+4%
Grenoble
3156
2,0
-8%
Jarrie
78
2,1
+28%
Meylan
146
0,8
-2%
Pont-de-Claix
76
0,7
St-Égrève
116
0,7
-2%
St-Martin-d’Hères
201
0,5
+6%
St-Martin-le-Vinoux
61
1,1
+5%
Sassenage
138
1,2
+103%
Seyssinet-Pariset
84
0,7
+24%
Seyssins
75
1,0
+21%
La Tronche
69
1,0
-18%
Varces
71
0,9
Vaulnaveys-le-Haut
63
1,6
Vif
86
1,0
+48%
Vizille
65
0,9
participation 2021
Grenoble : participation toujours élevée
Le nombre de réponses à Grenoble est le même que durant l’année 2019 (environ 3 200 réponses). Cela représente près de 2% de la population municipale, ce qui constitue l’un des ratios les plus élevés pour les grandes villes françaises. À titre de comparaison, le taux de participation est de 0.9% à Lyon, 0.79% à Besançon et 1.1% à Nantes. Strasbourg, dont la part modale vélo est comparable à celle de Grenoble, atteint 0.75% de participation.
Un engouement qui gagne toute la métropole
5 villes en 2017, 16 en 2019 et 23 pour l’édition 2021 ! Avec près de la moitié des communes de la Métropole notées, le baromètre des villes cyclables devient un indicateur pour l’évaluation de la mise en œuvre du plan vélo métropolitain (orientation 7 du PDU) — et témoigne de l’intérêt grandissant pour le vélo urbain hors du centre grenoblois.
La grande surprise de cette édition est dans l’engouement des petites communes, notamment le sud de la métropole qui est fortement représenté avec le classement de Champagnier, Claix, Le Pont de Claix, Jarrie, Varces Allières, Vaulnaveys le Haut, Vif et Vizille avec des taux généralement supérieurs à 1% de la population. En 2019, Claix, Jarrie et Vif figuraient au classement ce qui permettra d’évaluer si les cyclistes du Sud Grenoblois apprécient leurs nouveaux aménagements (voie verte Comboire – Pont de Claix, Chronovélo, rond-point de Champagnier…)
Bravo aux militants et aux participants !
Félicitations à tous ceux qui se sont mobilisés sur le terrain et sur les réseau pour diffuser l’enquête. Au-delà de la Métropole, tout le territoire du SMMAG a été couvert par l’enquête, 5 communes du Voironnais et 5 du Grésivaudan s’ajoutant aux 23 de la Métropole. Le classement sera dévoilé au congrès de la FUB à Tours le 10 février. La carte des points noirs sera elle disponible ce début janvier, histoire d’inspirer notre début d’année.